sur "Miracle de Jean Genet"
Naïves questions de philosophie, de Claudine Romero sur RFPP
Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
sur "La Prison ruinée"
La Prison Ruinée de Brami
Dans l'Humanité
"Par le titre de son émouvant recueil, Brigitte Brami fait écho à Genet. L'auteure y conte son séjour en prison - qui semble abusif face aux faits reprochés -, son expérience de la solidarité entre détenues, et de l'amour comme du mépris étatique. Saisissante sublimation poétique et politique. Quand l'écriture décadenasse l'esprit..."
"Dénaturons donc la détention" ou la sacralité captive, par Anne Bastin
"Non, les Éditions Indigène n’ont pas publié uniquement "Indignez-vous" ces temps derniers. Elles ont également fait la part belle aux questions carcérales en proposant "La Prison ruinée". Si elle emprunte le nom de son ouvrage à Jean Genet, c’est que Brigitte Brami part d’un constat simple. Pour détruire la prison de son intérieur, il faut parvenir à y être heureux."
Une captivité captivante, par Valérie Hernandez
"L'après Hessel pour Indigènes, le voilà.(...) Et un texte assez amoral après le doux Hessel."
"La langue de Brigitte Brami, aussi cultivée qu'incandescente, restitue avec un vrai talent ce choc poétique, cette captivité captivante."
Article paru dans le COUAC, Quebec, par Gina Bernier
"Entre la tôle et le divan…
La première question que soulève la lecture de ce récit : quel crime Brigitte Brami a-t-elle commis pour écoper d’une peine de cinq mois d’incarcération? De simples appels téléphoniques à son psychiatre/psychanalyste, répétés semble-t-il, suite à une interruption brutale de soins. L’histoire ne mentionne pas la teneur de ses propos, mais force est de constater (...)."
La Prison en France: parlons en avec "La Prison Ruinée" de Brigitte Brami
Ma Chaîne étudiante, le 16 mars 2012
Brigitte Brami nous plonge dans son univers particulier, et nous ouvre les portes de la prison, un monde oublié et tabou dans la société. Charles de Gaulle ne qualifiait-il pas les prisons de "poubelles de la République" ?
Mais l'auteur opte pour une position originale et choisit de combattre par la "poésie".
Doc:"La Prison Ruinée" de Brigitte Brami
Dans Philosophy with a hammer, 28 mars 2011
Brigitte Brami nous plonge dans son univers particulier, et nous ouvre les portes de la prison, un monde oublié et tabou dans la société. Charles de Gaulle ne qualifiait-il pas les prisons de "poubelles de la République" ?
Mais l'auteur opte pour une position originale et choisit de combattre par la "poésie".
Eloge de la prison, mépris de la société de consommation
Dans Yagg
"Ce que l'on retient de cet essai (...), c'est la solidarité. La multiculturalité, où l'opposition des différentes parties de la population n'existe plus, tout le monde ou presque est au même niveau. On dépasse les différences.
J'ai aussi beaucoup aimé le passage où Brigitte Brami relate sa relation avec Sonia. J'ai trouvé ça beau et vrai."
Lettre de Bertrand Delanoë
Maire de Paris
"Votre livre démontre un travail profond et intelligent sur l'utilité ou l'inutilité de l'enfermement carcéral. Votre témoignage et votre rélfexion sur l'incarcération sortent des sentiers battus, car vous y évoquez la solidarité, la poésie et un certain "idéal socialiste" que vous avez trouvé parmi les femmes de la Maison d'arrêt de Fleury-Mérogis"
Une captive amoureuse
Portrait par Fabien Carlat
"Dans notre société de contrôle et de surveillance, l'opacité de Brigitte Brami, auteure de La Prison Ruinée, ne la rend que plus humaine.
"Tu es la nouvelle Sagan" lui a dit une journaliste. Françoise Sagan était blonde, Brigitte Brami est brune, mais on retrouve effectivement des faux airs dans la diction et dans la gestuelle (...)"